Découvrez tout ce que vous devez savoir sur le Cloud Computing : définition, fonctionnement, cas d'usage, types de services, avantages et inconvénients... Ce dossier complet vous permettra de tout comprendre sur cette technologie révolutionnaire, étroitement liée à la Data Science...
Le Cloud Computing est de plus en plus utilisĂ© par les entreprises et par le grand public, mais qu’est-ce exactement ?Â
Pour faire simple, « l’informatique en nuage » consiste Ă accĂ©der Ă des donnĂ©es ou Ă des logiciels via internet plutĂŽt que sur un systĂšme de stockage local.entier et laisse pleuvoir les informations…
Les logiciels et bases de données sont exécutés sur des serveurs distants, détenus et gérés par un fournisseur de services Cloud. Ces serveurs sont entreposés dans des « Data Centers » (centres de données), partout dans le monde.
Ă l’inverse, lorsqu’un disque dur est utilisĂ© pour stocker des donnĂ©es ou pour exĂ©cuter des programmes, on parle dĂ©sormais d’informatique ou de stockage local. Tous les composants sont physiquement proches de l’utilisateur.
Les disques durs et l’informatique locale ont Ă©tĂ© utilisĂ©s pendant de nombreuses dĂ©cennies, mais le Cloud Computing est devenu prĂ©dominant. Pour cause, cette technologie apporte de nombreux avantages.
Outre les logiciels et les donnĂ©es, le Cloud Computing permet aussi d’accĂ©der Ă des ressources informatiques Ă la demande : puissance de calcul, fonctionnalitĂ© d’application…
D’une certaine maniĂšre, le « Cloud » n’est finalement qu’une mĂ©taphore pour dĂ©crire internet. Ce nuage flottant accepte en permanence des connexions en provenance du monde entier et laisse pleuvoir les informations…
Comment fonctionne le Cloud Computing ?
Le Cloud Computing repose sur une technologie appelĂ©e « virtualisation ». Cette technologie permet la crĂ©ation d’un ordinateur virtuel, simulĂ©, se comportant exactement comme un ordinateur physique Ă©quipĂ© de son propre hardware. On parle lĂ d’une « machine virtuelle ».
Plusieurs machines virtuelles peuvent ĂȘtre hĂ©bergĂ©es sur une mĂȘme machine physique, sĂ©parĂ©es les unes des autres. Ces machines virtuelles n’interagissent pas entre elles, et les fichiers et applications de l’une ne sont pas visibles sur les autres.
Les machines virtuelles utilisent efficacement le hardware sur lequel elles sont hébergées. Un seul serveur devient une multitude de serveurs, et un Data Center devient capable de servir de nombreuses entreprises.
C’est ce qui permet aux fournisseurs de Cloud d’offrir l’utilisation de leurs serveurs Ă de nombreux clients simultanĂ©ment, Ă un coĂ»t extrĂȘmement rĂ©duit. MĂȘme si un ou plusieurs serveurs tombent en panne, les serveurs Cloud restent disponibles et fonctionnels. Pour cause, les fournisseurs effectuent gĂ©nĂ©ralement un backup de leurs services sur de multiples machines rĂ©parties sur plusieurs rĂ©gions.
Les utilisateurs accĂšdent aux services Cloud par le biais d’un navigateur web ou d’une application, et se connectent au nuage via internet. Il s’agit donc d’une technologie rendue possible par d’importantes innovations rĂ©alisĂ©es au cours des derniĂšres annĂ©es.
L'histoire du Cloud Computing
Le terme de Cloud Computing est apparu au dĂ©but des annĂ©es 2000. Toutefois, le concept de « l’informatique en tant que service » remonte aux annĂ©es 1960. DĂ©jĂ Ă cette Ă©poque, des entreprises appelĂ©es « computer bureau » permettaient Ă d’autres organisations de louer du temps sur un « mainframe » (ordinateur central) plutĂŽt que d’avoir Ă en acheter un.
Avec l’essor des ordinateurs personnels, ces services ont peu Ă peu disparu puisque les prix ont largement diminuĂ©. Par la suite, l’Ă©mergence des Data Centers sur site ont permis aux entreprises de stocker de larges quantitĂ©s de donnĂ©es en interne.
La location de ressources informatiques a fait son grand retour avec l’Ă©mergence du Cloud Computing, lequel a rĂ©ellement dĂ©collĂ© Ă l’apparition de fournisseurs « hyperscale » comme Amazon Web Services, et du modĂšle SaaS…
SaaS, PaaS, IaaS... quels sont les différents types de services Cloud ?
Il existe une large variĂ©tĂ© de services Cloud. Cette technologie peut servir au stockage ou au traitement de donnĂ©es, au networking, ou encore Ă l’intelligence artificielle. Toutefois, la plupart des services peuvent ĂȘtre classĂ©s dans l’une de ces quatre catĂ©gories : SaaS, PaaS, IaaS ou FaaS.
SaaS ou Logiciel en tant que Service
Les SaaS (Software as a Service) ou logiciels en tant que service sont des applications et des logiciels accessibles via un navigateur web. En guise d’exemples bien connus, on peut citer la G Suite de Google ou la suite Office 365 de Microsoft. Un autre SaaS utilisĂ© par de nombreuses entreprises est le logiciel de RH Salesforce.
De nombreuses solutions collaboratives reposent sur le Cloud et le modĂšle SaaS. C’est le cas de Slack, Microsoft Teams ou encore HipChat. Ces plateformes permettent la communication et le travail d’Ă©quipe Ă distance, grĂące Ă la messagerie et au partage de fichiers ou encore Ă la communication audio et vidĂ©o.
De nos jours, la plupart des principaux logiciels d’entreprises sont disponibles au format SaaS. Les gĂ©ants du marchĂ© comme Oracle et SAP ont eux aussi adoptĂ© ce modĂšle.
En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, de nombreuses options de configuration et environnements de dĂ©veloppement sont proposĂ©s avec les SaaS pour permettre aux utilisateurs de coder leurs propres modifications et d’effectuer des ajouts.
IaaS ou Infrastructure en tant que Service
Les IaaS ou infrastructures en tant que service englobent de nombreux services Cloud diffĂ©rents : stockage, puissance de calcul, bases de donnĂ©es, VPN, solutions d’analyse Big Data, outil de dĂ©veloppement, Machine Learning…
Le pionnier des fournisseurs IaaS est Amazon Web Services, qui reste aujourd’hui le leader du marchĂ©. On retrouve ensuite Microsoft Azure, Google Cloud, Alibaba et IBM.
PaaS ou Plateforme en tant que Service
Les PaaS, ou plateformes en tant que service, sont un ensemble de services et de worklows destinés spécifiquement aux développeurs. Ces derniers peuvent utiliser des outils, processus, et APIs partagés pour accélérer le développement, le testing, et le déploiement de leurs applications.
Parmi les PaaS les plus populaires, on peut citer Salesforce, Heroku et Force.com ou encore Pivotal Cloud Foundry et Red Hat OpenShift. Les PaaS permettent aux entreprises d’offrir Ă leurs dĂ©veloppeurs un accĂšs aux ressources, tout en laissant les opĂ©rateurs maintenir l’infrastructure sous-jacente.
Dans plusieurs industries, telles que la finance, la santĂ©, le commerce de dĂ©tail ou la fabrication, des fournisseurs proposent aux entreprises des PaaS leur permettant de dĂ©velopper des applications verticales basĂ©es sur des services spĂ©cifiquement conçus pour leur domaine d’activitĂ©. Ces « clouds verticaux » permettent d’accĂ©lĂ©rer le lancement sur le marchĂ© d’applications verticales.
FaaS ou Fonction en tant que Service
Enfin, les FaaS ou Fonctions en tant que Service sont la version Cloud du « serverless computing » ou informatique sans serveur. Ce modĂšle ajoute une couche d’abstraction aux PaaS. Ainsi, les dĂ©veloppeurs sont totalement isolĂ©s du stack logiciel et seuls face Ă leur code.
Ils n’ont pas Ă se prĂ©occuper de serveurs virtuels, de conteneurs ou de runtimes d’applications et peuvent se focaliser sur des blocs de code fonctionnels Ă tĂ©lĂ©charger et Ă configurer pour qu’ils soient activĂ©s par un Ă©vĂ©nement spĂ©cifique. Il peut s’agir d’une soumission de formulaire ou d’un fichier tĂ©lĂ©chargĂ©, par exemple.
L’avantage de ce modĂšle est qu’il permet de rĂ©duire les coĂ»ts, puisqu’aucune ressource IaaS n’est consommĂ©e jusqu’Ă ce que l’Ă©vĂ©nement survienne. Tous les principaux fournisseurs de Cloud proposent des FaaS en plus de leurs IaaS : AWS Lambda, Microsoft Azure Fucntions, Google Cloud Functions, IBM OpenWhisk…
XaaS ou Anything as a Service : quand tout devient service Cloud
Outre ces quatre catĂ©gories principales, il existe aujourd’hui une large diversitĂ© de services Cloud. En guise d’exemple, on peut citer les iPaaS (plateforme d’intĂ©gration en tant que service), permettant l’intĂ©gration de donnĂ©es et le partage de donnĂ©es avec les principales applications d’entreprise en SaaS ou sur site.
De mĂȘme, les IDaaS (identify as a service) permettent la gestion d’identitĂ© des utilisateurs et leur accĂšs aux donnĂ©es sur site ou sur le Cloud. Les types de services Cloud sont dĂ©sormais si nombreux et variĂ©s qu’on parle de « XaaS », pour « Anything as a Service ».
Cloud public, privé ou hybride
Lorsqu’on accĂšde Ă des donnĂ©es ou Ă des logiciels via internet sur les serveurs d’un fournisseur, il s’agit du modĂšle de « Cloud public ». Parmi les fournisseurs de Cloud public, on peut citer Amazon Web Services ou Microsoft Azure.
Dans le cas du Cloud privĂ©, la technologie utilisĂ©e par les IaaS des Clouds publics est proposĂ©e sous forme de logiciel pouvant ĂȘtre dĂ©ployĂ© et exploitĂ© directement en interne sur le Data Center de l’entreprise. Les employĂ©s peuvent ensuite utiliser les ressources virtuelles dont ils ont besoin pour dĂ©velopper, tester et exĂ©cuter les applications.
Le Cloud privĂ© permet d’automatiser la gestion du Data Center, pour rĂ©duire les tĂąches de gestion au minimum pour les administrateurs. Le logiciel de Cloud privĂ© commercial le plus populaire est le stack VMware Software Definied Data Center. Dans le domaine de l’open source, le champion du secteur est OpenStack.
Le Cloud hybride, quant Ă lui, est l’intĂ©gration du Cloud privĂ© avec un Cloud public. Ce modĂšle implique la crĂ©ation d’environnements parallĂšles dans lesquels les applications peuvent ĂȘtre transfĂ©rĂ©es facilement entre les Clouds publics et privĂ©s.
Il peut aussi s’agir de laisser les bases de donnĂ©es de l’entreprise dans son propre Data Center sur site, et de les intĂ©grer avec des applications de Cloud public. Pendant un pic de demande, on peut aussi rĂ©pliquer les workloads virtualisĂ©s de Data Centers.
En rĂ©sumĂ©, le Cloud hybride dĂ©signe un mĂ©lange entre le Cloud public et le Cloud privĂ©. Une partie des donnĂ©es peut ĂȘtre stockĂ©e sur site, par exemple les donnĂ©es les plus sensibles, tandis que les autres sont entreposĂ©es sur un serveur distant de Cloud public. Ce modĂšle rencontre de plus en plus de succĂšs auprĂšs des entreprises et domine actuellement le paysage de l’informatique en nuage.
Qu'est-ce que le multicloud ?
Au sein d’une entreprise, une stratĂ©gie  » multicloud  » consiste tout simplement Ă utiliser plus d’un service Cloud public. Une telle approche permet notamment d’Ă©viter la dĂ©pendance Ă un fournisseur unique.
Dans certains cas, l’objectif est aussi de profiter de services Cloud spĂ©cifiques proposĂ©s par diffĂ©rents fournisseurs. Il est aussi possible parfois d’intĂ©grer ces services entre eux.
Par exemple, un dĂ©veloppeur peut vouloir utiliser le service de machine learning TensorFlow de Google Cloud pour dĂ©velopper des applications de Machine Learning et prĂ©fĂ©rer Jenkins hĂ©bergĂ© sur la plateforme CloudBees pour l’intĂ©gration continue.
Cependant, la gestion de Clouds multiples peut entraßner une complexité en matiÚre de coûts et de technologie. Pour remédier à ce problÚme, certaines organisations optent pour des plateformes de gestion de Cloud ou pour des  » Brokers  » de services Cloud. De telles options permettent de gérer plusieurs Clouds comme une plateforme unique.
Qu'est-ce qu'un conteneur ?
Les conteneurs, tout comme les machines virtuelles, reposent sur une technologie de virtualisation. Ils font partie du modĂšle PaaS (plateforme en tant que service).
Toutefois, alors que l’abstraction survient au niveau du kernel sur les machines virtuelles, elle se produit au niveau du systĂšme d’exploitation pour les conteneurs. Chaque machine virtuelle a son propre kernel de systĂšme d’exploitation, tandis que les conteneurs sur une mĂȘme machine partagent le mĂȘme kernel.
Quels sont les principaux fournisseurs de Cloud ?
Le marchĂ© du Cloud, ou du moins celui des IaaS et des PaaS, est largement dominĂ© par une poignĂ©e de gĂ©ants. Le leader absolu de l’industrie est Amazon Web Services, suivi par Microsoft Azure, Google Cloud Platform, Alibaba et IBM.
Selon 451 Research, la plupart des entreprises choisissent d’utiliser AWS et un second fournisseur de Cloud. Selon Gartner, jusqu’en 2021 au moins, les deux tiers des dĂ©penses dans les services de Cloud iront aux 10 principaux fournisseurs de Cloud public.
Ă quoi sert le Cloud et quels sont ses avantages ?
Le Cloud Ă©vite aux utilisateurs d’avoir Ă gĂ©rer des serveurs physiques eux-mĂȘmes ou de devoir exĂ©cuter des logiciels sur leurs propres machines. Pour les entreprises, ceci reprĂ©sente donc une importante Ă©conomie de temps et d’argent puisque le fournisseur Cloud se charge de mettre Ă jour et de maintenir ses serveurs.
C’est un vĂ©ritable avantage pour les petites entreprises, qui n’auraient de toute façon pas les moyens de financer leur propre infrastructure. Pour les grandes entreprises, c’est aussi un moyen d’opĂ©rer plus facilement Ă l’internationale puisque tous les employĂ©s peuvent accĂ©der aux mĂȘmes fichiers et applications depuis n’importe oĂč dans le monde.
Il est possible d’accĂ©der aux fichiers et applications sur le Cloud depuis n’importe quel appareil connectĂ© Ă internet, puisque les calculs et le stockage sont effectuĂ©s sur des serveurs et non directement sur l’appareil.
Un autre avantage du Cloud est la possibilitĂ© de payer uniquement pour les ressources utilisĂ©es. PlutĂŽt que d’investir dans de puissantes machines qui ne seront pas toujours exploitĂ©es pleinement, l’entreprise peut consommer uniquement ce dont elle a besoin et payer en fonction. Si les besoins augmentent, il est aussi possible d’augmenter la consommation.
Par ailleurs, le Cloud permet aussi de lancer plus rapidement sur le marchĂ© des applications nĂ©cessitant une extensibilitĂ© dynamique. Toutefois, les dĂ©veloppeurs sont aujourd’hui souvent submergĂ©s par l’abondance de nouveaux services pouvant ĂȘtre incorporĂ©s dans les applications tels que le Machine Learning ou la connectivitĂ© IoT.
Les entreprises migrent parfois leurs applications traditionnelles vers le Cloud pour rĂ©duire les besoins en ressources de leurs Data Centers. Toutefois, les avantages du Cloud s’appliquent vĂ©ritablement sur les nouvelles applications et sur les attributs « Cloud Native » comme l’architecture microservices, les conteneurs Linux, ou les solutions de gestion de conteneurs comme Kubernetes.
Le Cloud Computing est Ă©galement devenu la plateforme privilĂ©giĂ©e pour les larges applications, notamment celles qui nĂ©cessitent des mises Ă jour frĂ©quentes et une extension dynamique. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le Cloud public domine dĂ©sormais le paysage des technologies d’entreprise. Les innovations apparaissent Ă prĂ©sent en premier lieu sur le nuage.
Les inconvénients du Cloud Computing
MalgrĂ© tous ses avantages, le Cloud Computing prĂ©sente aussi des inconvĂ©nients. L’un des principaux obstacles Ă l’adoption de cette technologie concerne la sĂ©curitĂ©.
MĂȘme si les principaux fournisseurs de Cloud assurent la sĂ©curitĂ© de leurs serveurs Ă l’aide de mesures radicales et s’entourent d’Ă©quipes de professionnels, le risque zĂ©ro n’existe pas. Des cyberattaques sont rĂ©guliĂšrement menĂ©es contre le Cloud, et certaines portent leurs fruits.
Outre le risque d’une fuite de donnĂ©es, un gros point noir du Cloud est le risque de panne. MĂȘme les plus grands fournisseurs de services, comme Amazon, Microsoft ou Google, ont dĂ©jĂ subi des pannes s’Ă©tendant sur plusieurs heures.
Durant ce laps de temps, les utilisateurs sont dans l’incapacitĂ© d’accĂ©der aux services Cloud. Sans aller jusqu’Ă la panne complĂšte, les serveurs Cloud sont parfois surchargĂ©s ce qui peut provoquer des ralentissements ou des temps de chargement prolongĂ©s…
Le futur du Cloud Computing
Selon IDC, la construction d’infrastructure Cloud reprĂ©sente aujourd’hui plus d’un tiers des dĂ©penses dans l’informatique Ă l’Ă©chelle mondiale. Peu Ă peu, le Cloud prend le pas sur l’infrastructure traditionnelle.
Les analystes de Gartner prĂ©disent que la moitiĂ© des entreprises exploitant aujourd’hui le Cloud utiliseront uniquement cette technologie Ă partir de 2021. Mais quel est donc le futur du nuage ?
MalgrĂ© sa riche histoire, le Cloud n’en est encore qu’Ă ses balbutiements. Actuellement, on estime que seuls 10% des workloads pouvant ĂȘtre transfĂ©rĂ©s vers le Cloud le sont effectivement.
De nombreuses entreprises sont encore en phase d’expĂ©rimentation, et hĂ©sitent encore quant aux types d’applications Ă migrer vers le nuage. Cependant, au fil des annĂ©es Ă venir, l’utilisation de cette technologie va continuer Ă s’accentuer.
Afin de convaincre les organisations de franchir le cap, les fournisseurs présentent de plus en plus le Cloud comme un élément crucial de la transition numérique. Cette technologie permet aux entreprises de repenser leurs processus et de mettre un terme aux « silos » de données.
Ă l’avenir, le Cloud va continuer Ă se dĂ©velopper et de nouveaux types de services continueront Ă voir le jour. Cela ne fait aucun doute : il s’agit d’une technologie majeure du XXIĂšme siĂšcle…
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